Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs qui sont fans d’Abba ! Mais pas seulement… Pour ceux et celles aussi qui veulent aller au-delà des clichés. Pour celles et ceux qui veulent goûter au charme inouï de Stockholm, de Malmö, de Gotteborg… Pour ceux et celles qui rêvent de découvrir les humeurs variées que fait naître, en plein été, le soleil de minuit. Pour celles et ceux qui veulent se lancer dans de longues et somptueuses randonnées au cœur de paysages sauvages, magnifiques et préservés. Pour celles et ceux qui souhaitent aller à la rencontre des cultures, des coutumes, des peuples du grand nord, se porter auprès des Samis par exemple. Pour les voyageurs qui veulent allier au cœur d’un même séjour les joies de la vie sauvage, de la vie au grand air et les plaisirs confortable de la modernité la plus civilisée…
Ce que l’on trouve lors d’un voyage en Suède, et pas ailleurs
Des élans, des cerfs, des rennes, des renards polaires, quelques ours bruns. Un droit d’accès à la nature à nul pareil dans le monde. Une philosophie verte tout à fait étonnante. Vingt-huit parcs nationaux. La Venise du Nord : Stockholm. Une ville qui est à coup sûr une définition assez précise du charme absolu. Un rêve de ville. Taille humaine, ambiance chaleureuse, quatorze îles à découvrir, à parcourir sans relâche. Les lacs du Götaland, le littoral sublime du Bohuslän … Et puis le minéral, le tellurique, le magique Norrland. Le pays du nord, qui couvre la moitié de la superficie de la Suède. Aurores boréales, soleil de minuit, vie sauvage, rendue aux éléments, à la nature… Un voyage à lui-seul.
Vivre un moment unique lors de votre voyage en Suède.
Ils courent dans la lumière soir. D’abord on perçoit l’écho de leur galop. Un rythme sourd sur la neige durcie par le froid. Puis c’est un sillage de nacre. La poussière de glace les enveloppe bientôt d’un manteau fragile, pareille à une gaze mouvante. Leurs naseaux puissants laissent échapper un brume étrange, scandée, irrégulière, qui s’étiole peu à peu dans l’air glacé. Ils forment une houle vivante, une marée qui se forme et se défait, comme un soc planté dans le paysage, contre le ciel qui s’assombrit. Peu à peu, on les distingue avec moins de précision. Ils dessinent dans la pénombre une sculpture en mouvement, un souffle saisi qui se dissous dans le soir avant de reprendre, de donner le rythme de la nuit qui s’annonce. Au loin, la silhouette d’un Same. Puis la scène se perd dans l’obscurité. La présence des rennes seule perdure…