Du Ngorongoro à Zanzibar - La Tanzanie essentielle

Accueil à la descente d’avion et assistance francophone à l’aéroport du Kilimandjaro. Transfert privé et nuit dans un charmant hôtel, où vous dînez dans l’immense jardin tropical. Vous êtes entourés d’arbres tentaculaires, de lianes et de fleurs étranges, mais aussi d’oiseaux de toutes les couleurs et de petits singes qui sautent de branche en branche. Vous logez dans de petits bungalows aux chambres très confortables, avec des lits sous moustiquaire bien qu’il y ait la climatisation.

Rencontre avec votre chauffeur-guide francophone qui vous accompagnera pendant tout votre périple sur le continent, et départ pour le cratère du Ngorongoro.
Déjà prévu au programme - Le cratère du Ngorongoro. L’Afrique trouve l’une de ses plus belles expressions dans l’aire de conservation du Ngorongoro. La zone de dépression du volcan, d’un rayon d’une dizaine de kilomètres, abrite des animaux en grand nombre. Sur les lacs, les flamants sont parfois installés par milliers. Les pélicans et le Tantale ibis, au masque rouge, s’en accommodent. Comme les buffles, qui pratiquent le thermalisme sur les rives boueuses ; ou les hippopotames, qui barbotent et s’affrontent rudement à la saison des amours. L’autruche, elle, reste sur les sols secs. Elle y toise les gazelles de Grant et de Thomson, le gnou bleu, le zèbre. Le gracieux cob de montagne occupe les pentes. Quant aux lions, ils font la sieste dans les arbres.
Nuit dans un lodge aux portes du parc de Ngorongoro. Vous posez vos valises dans un beau bungalow au soubassement de pierres taillées - de l’excellent lit à moustiquaire en baldaquin, vous avez une vue sur l’horizon sans fin. La table est locale, fraîche et généreuse, le petit-déjeuner servi sous la véranda, le dîner autour du feu de bois. Vous pourrez faire le tour de la ferme et du jardin de plantes médicinales. On aime aussi la belle piscine et les massages, à la demande.

Route pour le parc du Serengeti et installation pour deux nuits dans la brousse. Les toiles sont installées sous les acacias. La literie est excellente, le confort est bien là, mais sans fioritures. L’important est à l’extérieur. On mène une existence terrain qui, à l’usage, entre la tente mess et le feu de bois, se révèle stimulante et gaie. Et puis, lorsqu’il n’y a entre soi et une telle nature qu’un bout de tissu, la nuit est une aventure !
Déjà prévu - Un dîner dans la savane, en privé. Parenthèse dans la parenthèse, nous vous avons réservé un moment qu'on ne vit qu'une fois. Autour d'un feu, à mille lieues de la civilisation, vous dégustez un dîner intimiste sous la magie du ciel africain. Le bush pour décor, la brousse pour bande-son.

Déjà prévu au programme - Safari dans le parc du Serengeti. Le documentaire Serengeti darf nicht sterben (Le Serengeti ne mourra pas - Bernhard Grzimek, 1959) a élevé le premier parc créé en Tanzanie en icône. Et les migrations des gnous et des zèbres qui ont lieu en été et à la fin de l’automne entre Serengeti et Masai Mara maintiennent vivant le mythe - et la réalité - de la grande faune africaine. Les Big Five sont au rendez-vous : lion (Panthera leo leo) ; éléphant (Loxodonta africana) ; buffle (Syncerus caffer) ; léopard (Panthera pardus) ; rhinocéros (Diceros bicornis). Si la girafe est absente du cratère du Ngorongoro, on la remarque ici. De la graminée Themeda triandra, à un bout de la chaîne alimentaire, au vautour de Rüppell, à l’autre, l’écosystème du parc ne souffre pas de déséquilibre majeur. Bien installé dans son véhicule à vision panoramique, on profite de toutes les réponses que la nature apporte ici à la question « Manger ou être mangé ? ».
En option - Le Serengeti vu du ciel.

Vol pour Zanzibar. Accueil et assistance francophone à l’aéroport. Transfert privé pour Stone Town et nuit dans l’ancien palais de la princesse Kholle, fille du premier sultan de l’île, Saïd ben Sultan al-Busaid (1797-1856). Le bâtiment date des années 1860 et associe avec raffinement styles omanais et créole. Restauré avec soin, il ressuscite un mode de vie ouvert au proche comme au lointain : salon Directoire et atmosphère swahilie. Les couleurs des murs et des étoffes rappellent celles des épices de l’Inde. Les chambres interprètent tout cela sur le mode intime. La piscine n’est pas olympique, mais harmonieuse et douce. Du salon de thé installé sur le toit-terrasse, la vue sur la vieille ville et l’océan Indien est splendide. La princesse recevait ici ses hôtes et l’hôtel ne trahit pas cette vocation d’accueil.
Déjà prévu au programme - Une balade dans la Vieille Ville en compagnie de notre concierge francophone, qui vous guide dans les ruelles tortueuses de caravansérail en hammam persan. Partout, sur les étals des marchands, des épices, poudres colorées, racines ou écorces. De la cardamome, du poivre, du piment, de la muscade. Mais c’est le clou de girofle qui règne en maître, qui fut au XIXe siècle une alternative au commerce des esclaves déclinant. Chemin faisant, votre acolyte se fait l’interprète de la ville.

Transfert privé et installation pour trois nuits sur la côte nord-est, dans un hôtel posé sur une plage immaculée, frangée de cocotiers. Vous posez vos valises dans une des villas qui s’égrènent entre plage et cocoteraie. Trois piscines pour barboter, un spa pour se faire dorloter par un personnel aux petits soins, un bar bien achalandé et un restaurant servant de délicieux poissons grillés… Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’hôtel ne prend pas la détente à la légère.

Votre transat est avancé sur la plage. Le vert franc des palmiers tranche avec la netteté du sable blanc. Durant ces deux jours, on songera à une sortie snorkeling, ou plongée, sur le récif : gorgones, anémones, raies pastenagues, barracudas et tout un petit monde virevoltant et multicolore. Dauphins, thons, requins baleines se croisent dans les volumes d’eau qui leur conviennent. Bien sûr, comme dans le cadre des safaris et de l’observation des Big Five, l’observation des dauphins n’est pas systématique et reste corrélée à une part de hasard. On mettra donc la tête sous la surface le moment venu. C’est qu’ici, la paresse fait partie d’un contrat tacite avec la nature.
En option - Snorkeling dans l’atoll de Mnemba.