Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs qui rêvent de partir sur une île, à la fois si proche et si lointaine. Pour celles et ceux qui, en une poignée d’heures, veulent changer d’univers. Pour ceux et celles qui voudraient marcher sur les traces d’un volcan. Pour ceux qui ne sauraient choisir entre Afrique et Europe. Pour les voyageurs en quête d’un climat plus clémént. Pour celles et ceux qui voudraient mêler les plaisirs de la montagnes, de la campagne, de la mer, entre soleil et neige d’altitude. Pour les aventuriers qui veulent gravir le plus haut sommet d’Espagne. El Teide. Le volcan culmine à 3718m et demeure le plus haut sommet d’Espagne. Pour ceux qui voudraient connaitre le plaisir d’ un véritable printemps, ni trop froid, ni trop pluvieux. Un printemps qui permette de voguer sur l’Atlantique à la découverte d’îlots, de 7 petites îles. Sept fragments de terre qui dessinent avec délicatesse un archipel élégant et accueillant, et qui donnent une nouvelle définition à la douceur de vivre…
Ce que l’on trouve, et pas ailleurs.
On y trouve un ciel tendu comme un dais entre la mer et les sommets. On y trouve un charme unique, chaque jour réinventé. Comme si l’on était à l’autre bout du monde, comme si on était sur le continent africain et qu’à la fois il y avait un souffle d’Espagne. Le meilleur moyen de se sentir ici et ailleurs à la fois. On y découvre des montagnes à Gran Canaria et La Palma. De grandes étendues arides à Fuerteventura tandis qu’à Garajonay on avance dans une forêt tropicale, une forêt secrète, aux territoires reculés qui viennent sertir El Hierro. Un charme unique et singulier où l’on fait la rencontre de chameaux, où l’on effleure des palmiers, où l’on foule le déserts sombre de Tenerife. Où l’on respire par tous les pores, où l’on éprouve de tous nos sens cette nature exubérante, cette nature qui fusionne avec l’océan Atlantique.
Vivre un moment unique.
Arbres, fougères, racines et autres branches majestueuse se font denses. Il n’y a pas d’allée prédéfinie dans cette forêt. On trace son propre chemin, sa propre voie. D'ailleurs vous êtes seul(e). C’est à vous de vous approprier les lieux. Un souffle délicat vient effleurer votre visage. Ce vent donne à la sylvestre balade un gout salé, une saveur marine. Alors marcher un peu plus vite, vers la lumière et le vent. La côte n’est plus très loin. Et puis, presque d’un coup, sentir les vagues qui viennent caresser délicatement le rocher sur lequel vous vous êtes placé(e). Le décor n’est plus émeraude. Il est devenu azuré, bleuté, céruléen. Vous voilà dans un nouvel univers. Le vent est enivrant, vivant. Le ciel sans nuage. Les rayons du soleil se reflètent sur l’eau pour mieux vous éblouir. Ce passage d’un élément à l’autre, ce pur plaisir.