Idée voyage 100% personnalisable
Madagascar - Tananarive - Bemahara - Belo sur Mer - Andavadoaka - Salary
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Accueil et assistance en français à l’arrivée. Transfert privé. Nuit juste au nord du lac Anosy. De la terrasse du jardin, on a d’ailleurs une jolie vue sur celui-ci. La villa coloniale est pleine de charme ventilé. Les murs blancs réverbèrent la lumière. Dedans, une ombre propice au repos. Des tons chocolat, terre de Sienne, beige. Pas de détail négligé. Les quelques chambres sont des plus agréables et intimes. Belles literies. Les planchers luisent. Tananarive ne se moque pas de vous. Le vieux rose de la salle à manger lui va à ravir. Elle se prolonge dès que possible sous la marquise. Le chef est un artiste ; ses assiettes sont des tableautins harmonieux dont les couleurs préludent aux saveurs. Vins français pour accompagner.
Transfert privé à l’aéroport. Vol pour Morondava. Nouveau transfert privé et installation pour la nuit sur la plage, ou presque. Dans un hôtel tout de bois, ou presque. La mer est à quelques mètres et tout regarde vers elle. La netteté et le poli, l’élégance du bois sont partout, dans les chambres, les salles d’eau, les galeries, les espaces communs. C’est très agréable. Votre bungalow sous les arbres est confortable, adorné de couleurs intenses mais équilibrées. Vous avez votre porch particulier. Il permet de porter le regard au large. Les édifices sont couverts de fibres végétales, qui entretiennent douceur et ombre propice. Deux piscines reflètent à qui mieux mieux le bleu du ciel. Le restaurant met Madagascar au menu avec talent et bonne humeur. La cuisine a le sourire qui convient à la situation. Souplesse et fermeté président aux massages.
Prise de contact avec votre chauffeur-guide francophone pour toute la suite du voyage. Route pour le parc des Tsingy. Traversée du Manambolo en bac pour Bekopaka. Installation pour trois nuits aux portes de la réserve, dans un lodge élégant, ouvert sur un vaste paysage boisé et très convenablement aménagé. Dans son particulier, on dispose d’une terrasse couverte et d’un jardinet. Un certain dépouillement confortable met en valeur les volumes et invite à la paix. La piscine à débordement est extra. Le restaurant propose une cuisine sans effets de manches, mais juste et évocatrice de l’esprit de Melaky.
Au programme - Les tsingy de Bemaraha. Les tsingy sont un lapiaz, résultant de l’érosion hydrique d’importantes couches calcaires. La roche, feuilletée et déchiquetée en profondeur, forme un réseau serré d’écrans et d’aiguilles. Sous certains aspects – la verticalité, la densité – c’est sans doute à Manhattan que cela fait penser d’abord ; sous d’autres, on se dit que le processus physico-chimique a pris Antoni Gaudí pour modèle. Ce paysage, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, est l’un des plus déroutants qui soient. L’un des plus beaux aussi. On commencera cependant par explorer en pirogue les gorges que le Manambolo a creusées dans le calcaire. Érosion toujours. Et spectaculaire. Puis on fait une balade sous les couverts des Petits Tsingy. Avec un peu de chance, on apercevra quelques-uns des naturels. Le sifaka de Verreaux, qui est diurne, plus probablement que le lépilémur de Milne-Edwards, qui est nocturne et gros dormeur. Le lendemain, échelles, mousquetons et baudriers permettent une incursion dans l’intimité du Grand Tsingy. Les opérations sont un peu sportives mais elles s’effectuent en compagnie d’un instructeur francophone du parc, dans les meilleures conditions de sécurité.
Traversée du fleuve en bac, puis route pour Morondava. Nouvelle nuit sur la plage, ou presque.
Au programme - Apéritif dans l'allée des Baobabs. L’allée est un groupe d’une douzaine d’Adansonia grandidieri, le plus grand des baobabs malgaches. Les arbres dressent sur le paysage plat leurs troncs épais et cylindriques, que couronnent quelques branches torses. Ils ont une touche spéciale. Et inspirent le respect. Ils sont un peu les éléphants du règne végétal. On prend là un verre sunset et méditatif.
Route pour Belo sur Mer, un village de pêcheurs et de charpentiers de marine. Installation pour deux nuits sur la plage, pour le coup. Le jardin donnant directement sur le sable farine. L’azur partout est impalpable. Les bungalows sont de matières, de tons, d’aménagement naturels. On s’y sent bien en phase avec un environnement unique. La brise ventile. Les barques Vezo à grande voile carrée passent. Elles sont effilées et basses. Faites pour ouvrir l’eau sans éclaboussures, ajustées, à peine équilibrées par leur balancier. C’est très beau. À l’ombre de sa terrasse particulière, on ne se lasse pas de ce spectacle. La cuisine internationale servie au restaurant reçoit de la mer le plus frais de ses ingrédients. Un massage peut vous mettre mieux encore au diapason de cette existence harmonieuse.
Au programme - La baie de Menaky. Elle se trouve à quelques kilomètres au nord de Belo. Selon dispositions, marée, état de la mer, on la rejoint à pied ou en pirogue. C’est un paysage enchanteur d’eau miroitante, de sable lavé et de mangrove. Les boutres y entrent pour charger le sel. Un village Vezo est installé là. Barques et filets : aucun doute n’est permis quant à la vie de ce peuple encore nomade, qui s’ouvre depuis peu à l’écotourisme. D’ailleurs, une partie de pêche vous attend. En compagnie d’un guide Vezo francophone, on embarque au petit matin dans une barque de haute mer. L’équipage n’est pas là pour vous balader seulement, mais pour capturer carangues, thazards, bonites, etc. L’occasion est belle d’en apprendre plus long sur les techniques, les traditions, les connaissances spéciales accumulées qui font encore des Vezo les fournisseurs du meilleur (et du plus durable) poisson de la côte.
Route pour Manja. On visite maintenant un district agricole Sakalava : riz, manioc, patate douce, maïs, oignon sont les cultures de base, auxquelles il faut ajouter l’élevage, zébu d’abord, mais aussi moutons et chèvres. Manja est le centre administratif de la circonscription. Bourg de brousse typique, campagne malgache. Pour la nuit, c'est la seule auberge du village qui vous accueille. Le confort est nominal, la table correcte et le bar super. Parce que tout le monde y vient. Le soir, il y a souvent de la musique et toujours une atmosphère de simple authenticité. À cet égard, l’étape est sans doute la plus touchante. Vous partagez le lot commun.
Route pour Andavadoaka. Village Vezo, Andavadoaka est installé au bord d’une baie protégée par un récif de corail qu’associations internationales et villageois travaillent à préserver et régénérer. Avec des résultats. Un Equator Prize pour le maintien de la biodiversité et le développement a distingué la gestion que les seconds ont de leurs ressources et de leur environnement. Par ici, les baobabs ont l’air moins isolés, ils ont gardé leurs commensaux végétaux. Installation pour deux nuits dans un hôtel dont les bungalows de pierre et palissandre sont posés, à distance adéquate les uns des autres, en surplomb d’une plage encore sauvage. On renoue avec un bon niveau d’équipement. Le restaurant puise dans la mer l’essentiel de sa matière et en Italie une partie de son inspiration.
On peut se trouver tenté de ne pas faire grand-chose : profiter paresseusement de la situation, qui est épatante. Ou descendre sur la plage pour un petit plouf, un petit tour et puis s’en va. Pas d’objection à ce minimalisme balnéaire parfaitement justifiable. Néanmoins, la présence conjuguée de récifs au large et des Vezo semble indiquer une certaine richesse du milieu marin. Ce que tendrait à confirmer ne serait-ce qu’une simple plongée avec masque et tuba. On aurait donc tort de se priver du costume rayé de l’apogon à grandes dents, du poisson porc-épic à taches auréolées, de la raie-guitare ou de l’imposant Napoléon. Voire du mérou géant. On ne rencontre pas de telles créatures à n’importe quelle marée.
Route pour Salary. Installation pour deux nuits au bord du canal du Mozambique. Un coin tranquille, que bordent un sable immaculé et une eau transparente où le ciel met du bleu. Des barques à balancier passent. Votre bungalow de pierre et de fibre végétale est tout ce qu’il faut dans un tel cadre. Confortable, mais ajusté à l’air marin et à la simplicité détendue de la vie. Car on n’est pas là pour se compliquer les choses. Le plus simple sera le mieux. Ce qui ne s’improvise pas, c’est un fait, mais on y a pourvu. La salle à manger ouvre – cela va de soi – sur le large. Le chemin est bref entre la corne d’abondance et le fourneau. Cela se sent : frais n’est pas un vain mot, c’est un fait. Le chef opère à l’inspiration, selon les arrivages. Un vrai chef, en somme. Il vous rend la vie savoureuse et facile.
En option - Un massage holistique à l’hôtel.
Au programme - Charrette à zébu dans la forêt des Mikea. On emprunte pour cette exploration un moyen de transport certifié malagasy : la charrette à zébu. Robuste et régulière, elle est fort bien adaptée aux circonstances. Exploration, car cette sylve sèche de transition, l’un des milieux naturels les plus intègres de Madagascar, n’est pas envahie de visiteurs. On y trouve des oiseaux rares – comme le mésite monias et le brachyptérolle à longue queue – et des chasseurs-cueilleurs Mikea. Lesquels doivent leur identité à un mode de vie : culture du maïs en saison des pluies, chasse (aux tenrecs, par exemple) et collectage (d’indispensables tubercules gourdes) dans la forêt le reste du temps. Les Mikea ont acquis de cet environnement une connaissance fine et pratique. Ils ne sont pas les descendants de populations archaïques, mais des chasseurs-cueilleurs récents, amenés à partir du XVIIIe siècle à cette existence par les chambardements politiques et sociaux.
Transfert privé à l’aéroport de Toliara et vol pour Tananarive. Nouveau transfert privé et nuit à l’hôtel d’arrivée.
Au programme - Dans les coulisses de Tananarive. En compagnie d’un guide francophone privé, on prend le taxi-be, version urbaine du taxi brousse, et on grimpe à Ambohipotsy, dans la ville haute. Le point de vue sur Tananarive est splendide ; le coin calme et tout à fait charmant. Le temple néogothique de 1863 est inscrit au patrimoine national. Ensuite, le marché d’Andravohangy étonne par la variété des marchandises, qui s’y échangent dans un grand déploiement de sons et de couleurs. Déjeuner dans une gargote (hotely) avant d’explorer les villages pittoresques de la périphérie.
En option - Tana by night.
Transfert privé à l’aéroport et vol international retour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
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