Climat et meteo au Mexique, géographie au Mexique - Voyageurs du Monde

Géographie Mexique

Capitale

Mexico.

Climat

Comme ailleurs, l’altitude est déterminante. On peut ainsi distinguer les terres chaudes (tierras calientes), d’une altitude inférieure à 1 000 mètres : 25°C de température moyenne et des pointes bien allègrement au-delà de 40°C ; les terres tempérées (tierras templadas), entre 1 000 et 1 800 mètres : 19°C de moyenne et des soirs d’hiver frais ; les terres froides (tierras frias), au-dessus de 1 800 mètres. À Mexico, par exemple, située à 2 240 mètres d’altitude, il fait en moyenne 14,1°C en janvier et 18,6°C en juillet.

 

Dans ce pays coupé en deux par le tropique du Cancer, la latitude joue aussi sa partie. Ainsi, au nord du tropique, le climat est-il quasi-désertique. Le Mexique central est tempéré. Au sud, la péninsule du Yucatán a un climat tropical classique, alors que les basses terres du Chiapas sont soumises au régime subéquatorial.

 

Enfin, la saison sèche s’étend de novembre à mai. Celle des pluies prenant le relais. C’est surtout en fin d’après-midi et la nuit que s’abattent alors des averses torrentielles, mais brèves. Ces précipitations concernent surtout le sud et, au bout du compte, 71% du territoire sont en stress hydrique. Deux chiffres suggèrent le déséquilibre : alors que les tierras calientes du sud ont une pluviométrie annuelle de l’ordre de 2 000 millimètres, celle-ci atteint péniblement 250 millimètres dans les tierras frias du nord.

 

À Mexico, les températures moyennes sont en janvier de 14,1°C ; de 19,9°C en mai ; 18,6°C en juillet ; 15,5°C en novembre. À Chihuahua, ce sont respectivement 10,1°C ; 23,7°C ; 25,9°C ; 14,1°C. À Cancun : 23,4°C ; 27,7°C ; 28,5°C ; 25°C. À Tuxtla : 22°C ; 27,6°C ; 25,9°C ; 23,3°C.

Géographie

SUPERFICIE : 1 972 547 km².

 

POINT CULMINANT : le volcan Orizaba, dans la Sierra Volcanica Transversal, 5 675 mètres.

 

PAYS LIMITROPHES : États-Unis, Bélize, Guatemala.

 

Les Amériques du nord et centrale s’articulent au niveau de l’isthme de Tehuantepec, où quelque 200 kilomètres seulement séparent le golfe du Mexique de l’océan Pacifique. Ce qui fait du Mexique un pays du nord, avec un pied au centre. Et une terre entre deux eaux.

 

On peut – très schématiquement – diviser l’espace mexicain en trois ensembles. Le Nord, occupe la moitié de la superficie du pays. Il est constitué par le haut plateau central ou Altiplano, dont l’altitude varie entre 1 000 et 3 000 mètres. C’est sur l’Altiplano que sont situées les deux plus grandes villes du pays, Mexico et Guadalajara. Ce haut plateau est bordé à l’est et à l’ouest par deux chaînes de montagnes, la Sierra Madre orientale et la Sierra Madre occidentale. Lesquelles surplombent d’étroites plaines côtières le long du golfe du Mexique et de l’océan Pacifique. Au Centre, les deux sierras sont barrées par la cordillère Néovolcanique (Eje Neovolcanico), puis prolongées par la Sierra Madre méridionale (Sierra Madre del Sur). Dans l’Eje, ou Sierra Volcanica Transversal, à la forte activité sismique, nombre de volcans sont en activité, comme le célèbre Popocatepetl. C’est là que s’élèvent les plus hauts sommets du pays, dont certains sont couverts de neiges éternelles. Le Sud commence passé l’isthme de Tehuantepec. On y distingue les montagnes du Chiapas et la péninsule du Yucatán, qui avance entre le golfe du Mexique et la mer des Caraïbes. Au nord-ouest, la péninsule de Basse-Californie (Baja California), longue de plus de 1 200 kilomètres, sépare le golfe de Californie / mer de Cortès du Pacifique. La répartition des cours d’eau reflète le déséquilibre hydrique du pays : la moitié nord du pays ne dispose que de 10% des ressources en eau. Le plus long fleuve mexicain est le rio Lerma, qui coule du plateau central au grand lac de Chapala.

Faune et flore

La diversité des conditions biogéographiques mexicaines commande une grande variété flori- et fauni-stiques. Le pays est classé mégadivers, c’est-à-dire abritant un nombre exceptionnellement élevé d’espèces. En conséquence, on fera schématique et simpliste. Dans les déserts du nord, les succulentes donnent leur cachet aux paysages. Les cactus saguaro et orgue sont emblématiques du Sonora. Le nopal s’est propagé, ses raquettes et ses figues de Barbarie pointent loin de son berceau. Les agaves sont nombreux, et ils entrent tous ou presque dans le mezcal. Les yuccas (cousins des précédents) sont eux aussi caractéristiques. Néanmoins, le créosotier, un arbuste que le vent roule lorsqu’il est sec, signale tout autant les coins septentrionaux arides. Les sylves tropicales humides du sud-est défient la simplification. Acajous et kapokiers se distinguent. Dessous, les tas d’orchidées (Erycina pusilla, Lycaste virginalis, Rhynchostele cervantesii, Stanhopea saccata, etc.), de broméliacées, de fougères. Oyamel de Juarez, Pinus patula, pin du Durango. Quercus castanea, Quercus chihuahuensis peuplent les sierras. Parmi les comestibles, on peut citer le chaya (Cnidoscolus aconitifolius) ou huauzontle (Chenopodium berlandieri), deux légumes-feuilles. Sur les littoraux, mangroves – palétuvier rouge, palétuvier blanc, mangrove à boutons, etc. – herbiers marins.

 

Et, on ne peut omettre le maïs, dont les anciens Mexicains ont domestiqué l’ancêtre, la téosinte (Zea mays parviglumis), il y a 9 000 ans. Après avoir été la base de l’alimentation mésoaméricaine (on la cultivait avec des courges et des haricots, technique dite des trois sœurs), c’est aujourd’hui la céréale la plus produite au monde. Du dieu aztèque Centeotl au popcorn transgénique, les grains ont fait du chemin. Le maïs conserve au Mexique une valeur culinaire et culturelle très haute. Le pays a procuré un autre fruit aujourd’hui universalisé : la tomate. Et, s’il ne l’a pas à proprement parler inventé, il fut vecteur d’un autre succès planétaire encore : le piment. Et c’est un peu pareil pour le cacao, utilisé déjà par les Olmèques et dont la culture était imposée aux peuples tributaires des Aztèques. On payait en fèves. Et il faudrait parler aussi de l’avocat. Et de la vanille, l’orchidée-liane Vanilla planifolia étant issue de l’écozone néotropicale. Bref on n’en finirait pas. Le dahlia est la fleur nationale. La rose d’Inde, cempaxochitl, celle du deuil, Flor de Muertos.

 

La série animée Bip Bip et Coyote / Wile E. Coyote and the Road Runner met en scène deux animaux emblématiques des déserts du sud des USA et du nord du Mexique : le grand géocoucou (Geococcyx californianus) et le coyote (Canis latrans). Dans la vraie vie, el correcaminos grande est un oiseau coureur opportuniste, assez omnivore, connu comme tueur de crotales. El coyote, un chasseur réaliste – le lièvre de Californie, ou le porc-épic, notamment, en ont tout à craindre – qui sait, à l’occasion, collaborer avec une autre espèce, le blaireau. Association que les Précolombiens avaient relevée. Sachant faire gras (avec un cerf hémione) ou maigre (avec un lézard de mauvaise fortune) selon les circonstances, le puma est le grand félin de ces contrées. En contexte tropical arboré, le jaguar est la hantise de pas mal de monde : tapir de Baird, pécari à lèvres blanches, capybara, caïmans, tamandua, mais aussi agoutis, écureuils, grenouilles, etc. On l’entend sans généralement le voir, le singe hurleur mexicain est un foli-frugivore tranquille. Le tatou à neuf bandes est myrmécophage. Il mange des fourmis. Quelques animaux qui ne doivent pas faire oublier le coati, le jaguarondi, l’ocelot ou le myrmidon. Bien entendu, insectes, batraciens, reptiles foisonnent. Sur les pentes et les plateaux des massifs montagneux, on peut rencontrer l’ours noir, le lynx roux, le renard gris, le lapin à queue blanche, le cerf de Virginie ou le petit polatouche. Le loup gris mexicain bénéficie d’un programme de réintroduction. Quant aux animaux marins, le Pacifique et le golfe du Mexique leur offrent des conditions exceptionnelles. Les cétacés – baleines, rorquals, cachalots, dauphins, marsouins – fréquentent. Tous les ans, les eaux de Baja California sont transformées en pouponnière par la baleine grise. Autre mammifère, le lamantin des Caraïbes ne demande qu’une chose : qu’on le laisse brouter en paix les herbiers marins (sans lui faire du hors-bord sur le dos). L’otarie de Guadalupe, au large de la Basse-Californie, est la plus septentrionale de son genre (Arctocephalus). Quelques poissons du golfe du Mexique ? Espadon-voilier, requin-citron, grand barracuda, ange des Caraïbes, hippocampe moucheté, dorade coryphène, labre espagnol, baliste royal, poisson-trompette, etc. La barrière de corail mésoaméricaine est une formation considérable, à de multiples égards. Les oiseaux sont, au Mexique aussi, la fleur de la faune. L’ariane à couronne violette est un oiseau-mouche, comme le campyloptère à queue large, les colibris Circé, du Guerrero, Héloïse ou Lucifer, l’émeraude couronnée et l’ermite de Hartert. Ils sont nombreux à battre des ailes à grande vitesse autour des corolles. L’onoré du Mexique est un héron. Généralement jaune et noir, l’oriole devient orange au Yucatán. Les troglodytes varient. Le dindon sauvage apprécie les zones mixtes, se nourrissant dans les prairies et trouvant refuge dans les arbres. Son brillant cousin ocellé a des habitudes similaires ; il est lui endémique de la péninsule du Yucatán. Pour les Aztèques (après d’autres), le quetzal était sacré, incarnation du serpent à plume, Quetzalcoatl, dieu de la sagesse. Pour les ornithologues, c’est un trogonidé, dont il y aurait six espèces. Le caracara du Nord est l’oiseau-emblème du Mexique.

 

C’est au début des années 1970 que le premier cheval mexicain est né : un peu de quarter horse US pour la vitesse, à peine moins de criollo sud-américain pour l’agilité et une pincée de cheval ibérique pour la tenue. Le cheval aztèque résultant est véloce, précis, résistant, élégant. Un succès. Les vaqueros au Mexique sont presque aussi totémiques que les cowboys aux États-Unis. Ils ont la responsabilité de troupeaux divers, au sein lesquels la vache corriente fait figure d’aïeule. C’est un animal rustique, polyvalent, résilient, anguleux, qui a donné au pays tout ce qu’il avait : travail, lait, viande, cuir. Et que des jeunesses spécialisées menacent de relégation. La fameuse Texas Longhorn est issue du croisement de vaches de souche espagnole élevées au Mexique avec des bovins d’origine britannique. Le xoloitzcuintle, le chien nu mexicain, a une vieille histoire. Il conduisait l’esprits des morts aux enfers, le mictlan. On le sacrifiait pour cela. Le chihuahua aurait lui aussi une origine précolombienne. Ce que semblent indiquer des ossements et des poteries. Régionale de l’étape, la dinde a été domestiquée il y a longtemps. L’un de ses noms espagnols guajolote vient d’ailleurs du nahuatl. Les premiers chroniqueurs la signalent sur le marché de Tenochtitlan. Cette poule d’Inde est arrivée en Europe au XVIe siècle.

Situation environnementale

La situation environnementale du Mexique n’est pas brillante mais elle n’est pas désespérée. La situation hydrique est néanmoins spécialement préoccupante. Dans la région du rio Bravo, en Basse-Californie et dans la vallée de Mexico surtout. La surexploitation des ressources en eau tient à la concentration urbaine, à l’industrie minière, à l’extraction des hydrocarbures, à l’agro-alimentaire. Rejets industriels et agricoles sont les principaux facteurs de pollution. L’eau des fleuves fait une synthèse nocive de tout cela. Par ailleurs, les capacités de traitement des eaux usées sont insuffisantes. Tout comme celles des déchets. Le pays est toujours un gros émetteur de gaz à effet de serre (un engagement d’abattement de 22% des émissions pour 2030 est pris). En revanche, la qualité de l’air dans les grands centre urbains tend à s’améliorer (des objectifs de réduction du carbone noir, de l’ozone et du méthane ont été annoncés). La déforestation ralentit. Elle est le fait de l’agriculture d’abord, de la production d’avocats notamment. L’exploitation forestière n’est pas innocente. Ailleurs, l’élevage fragilise le couvert végétal. Il en résulte érosion et dégradation des sols. L’exposition du Mexique aux risques climatiques est forte. Récemment, sécheresse et canicule. Conscientes des enjeux environnementaux, les autorités tiennent des discours ambitieux et prennent des mesures de protection et de transition énergétique. Par exemple, la part des énergies propres dans le mix électrique a été portée à 35%. Le Mexique est signataire de l’accord de Paris sur le climat.

 

Dans le Quintana Roo, sur la côte est du Yucatán, la réserve de biosphère Sian Ka’an, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, est un exemple d’implication locale, régionale, nationale et internationale. De nombreux programmes de conservation y ont été menés avec succès. Flore et faune s’y trouvent très complètes et sérieusement protégées. On peut voir de grandes colonies d’amazones du Yucatán, le toucan à carène ou la spatule rosée. Le tantale d’Amérique et le dindon ocellé. L’atèle de Geoffroy, l’iguane Ctenosaura similis ou le tamandua mexicain. Pour ne citer que quelques espèces terre/air d’un parc qui est aussi marin. Et archéologique. À la pointe sud de la Basse-Californie, Cabo Pulmo contribue à la conservation de la plus septentrionale des barrières de corail du Pacifique est. Patrimoine mondial à nouveau et site Ramsar – zone humide d’importance internationale. Le parc national a permis d’enrayer la surexploitation des ressources halieutiques. Effet positif malheureusement fragilisé par la faiblesse relative des moyens mis en œuvre pour faire respecter le cadre légal. Ce problème est récurrent. Le triste sort du vaquita, ou marsouin du golfe de Californie, illustre certaines cascades de conséquences désastreuses. Victime collatérale du braconnage au filet maillant du poisson totoaba, lui aussi désormais menacé, il est au bord de l’extinction. Les autorités mexicaines ont sanctuarisé le secteur de la mer de Cortés où vivent encore les deux animaux mais, face aux cartels, elles peinent à imposer cette disposition. Le Parque Nacional Lagunas de Chacahua est établi dans l’État d’Oaxaca. Il comprend de nombreuses lagunes reliées entre elles par un réseau de canaux. La végétation y est variée : selva baja espinosa, flore de marais, mangroves, savane, formations caducifoliées, ripariennes et autres. Ces milieux sont propices à l’avifaune : sarcelle soucrourou, frégate superbe, bihoreau violacé, anhinga d’Amérique, hirondelle des mangroves, chevalier grivelé, pélican brun, etc. Le parc national Iztaccihuatl-Popocatepetl s’étend sur des parties des États de Mexico, Puebla et Morelos. On y trouve les 2e et 3e plus hauts volcans du pays. Des parties basses du parc jusqu’à 4 000 mètres, beaucoup de conifères : l’acxoyale (Abies religiosa), le pin blanc du Mexique, Pinus montezumae, Pinus hartwegii sont bien représentés. Puis viennent les prairies alpines. Des carnivores de diverses catégories, du lynx au bassaris rusé, en passant par le coyote, le blaireau et le renard gris, indiquent que le garde-manger est bien garni. Le colin à longue queue, la grive aztèque ou le moqueur bleu habitent ces bois. Quant à la réserve de biosphère de Tehuacan – États de Puebla et Oaxaca – c’est un conservatoire de biodiversité tout à fait exceptionnel en Amérique du Nord. L’un des traits botaniques saillants de ce domaine est une concentration extraordinaire de cactus colonnaires. Ce n’est pourtant que l’un de ses aspects, puisqu’il présente un riche assemblage de microclimats auquel correspondent des écosystèmes très variés.

Économie et tourisme

IDH en 2022 : 0,781 / France, 0,910.

 

PIB par habitant en 2023 : 13 790,02 dollars US / France, 44 460,80.

 

L’économie mexicaine est puissante, mais contrastée dans ses niveaux. Elle est orientée vers l’exportation ; les autorités ont d’ailleurs consenti des efforts importants d’équipement logistique. L’Alena (accord de libre échange nord-américain) est son principal espace de déploiement. Le Mexique est le 1er partenaire économique des USA (ce qui le rend sensible autant aux soubresauts de Washington qu’aux aléas domestiques). Dans un tel contexte, le courant de relocalisations industrielles pourrait bénéficier au pays, qui multiplie les parcs ad hoc. Si le taux de chômage est bas – 2,4% en 2024 – les inégalités marquent profondément la société mexicaine. Et l’activité a encore souvent un caractère informel.

 

Le poids économique de l’agriculture a baissé, suivant en cela une évolution générale. Néanmoins, ce secteur reste actif. Et important, en termes d’emploi notamment. La taille et l’équipement des exploitations varient énormément, de petites propriétés vivrières à de grands domaines industrialisés. Le maïs est historique et occupe encore beaucoup de monde, mais l’horticulture, les fruits et légumes, le café, le cacao et la canne à sucre, moins concurrencés, imposent leur rentabilité. En ce qui concerne l’activité minière, le Mexique est dans le top ten mondial pour l’argent, l’or, le cuivre, le plomb, le zinc, le mercure, entre autres. L’exploitation stratégique du lithium a été nationalisée. Dans les années 2000, l’industrie représentait à elle seule la moitié des revenus à l’exportation. Avec un gros moteur : l’automobile. L’activité manufacturière est rudement challengée par la Chine, mais elle se montre résiliente. La construction tient son rang. L’aéronautique et l’électronique sont des secteurs de fort développement. Le pétrole (nationalisé) représente autour de 10% des revenus de l’État – le pays étant 14e producteur mondial. Les fluctuations sur ce marché ont des conséquences sur les finances publiques. Prospection et modernisation des équipements semblent manquer de capitaux. Les services fournissent désormais 60% du PIB.

 

Archéologie préhispanique (Chichén Itza, Tulum, Teotihuacan, etc.), histoire coloniale (centre de Mexico, missions franciscaines de la Sierra Gorda de Querétaro, Tlacotalpan dans le Veracruz, etc.), sites naturels (Sonora, Los Cabos, Sian Ka’an, etc.), plages (Riviera maya, Puerto Vallarta, Puerto Escondido, etc.), le Mexique a de sérieux atouts à jouer à la table touristique. Avec une légitimité et une expertise historiques, les activités du secteur remontant au XIXe siècle. Aujourd’hui, en plus des approches traditionnelles – arts et civilisation, balnéaire – le pays cherche à frayer des voies nouvelles, comme l’écotourisme ou la culture alimentaire. En 2021, le tourisme pesait un peu plus de 7% du PIB. Il se situe autour du 7e rang mondial pour le nombre de visiteurs internationaux. Et emploie plus de cinq millions de personnes. 

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