Bons baisers d'Italie - Après Rome, les Pouilles sur fond de grand bleu

À l'arrivée dans la capitale italienne, transfert privé pour le centre historique. Installation pour trois nuits au cœur d'un édifice du XIXe siècle savamment restauré. Les aspects historiques de l'immeuble ont été respectés et agrémentés d'une touche de design moderne bienvenu. Suites et penthouse s'assortissent de terrasses privées. Pour les autres, un superbe rooftop déploie une vue panoramique sur la ville. Quant au Panthéon, à la Piazza Navona et au palais Farnese, ils sont à portée de promenade.

Déjà prévus - Vos billets coupe-file pour la chapelle Sixtine et les musées du Vatican. On ne présente plus la Cappella Sistina, chapelle principale du palais apostolique sublimée par Michel-Ange. Tout à côté, les musées du Vatican présentent aux visiteurs des chefs-d’œuvre artistiques réunis au fil des siècles par les papes successifs, mécènes et fins collectionneurs. Vos billets coupe-file vous permettent d'accéder aisément à ces sites logiquement pris d'assaut.

Également prévus - Billets coupe-file pour le trio Colisée/Forum/Palatin. Voici trois autre sites qu'il est impératif de fouler lors d'un pèlerinage à Rome... et qui sont, eux aussi, victimes de leur succès. Afin d'éviter les foules (et les files), vous avez déjà en main vos billets. Vous pouvez ainsi choisir le jour et l'horaire auquel vous glisserez directement à l'intérieur du plus grand amphithéâtre du monde romain. Pour le Forum, centre de la vie de la cité, et le mont Palatin, où furent édifiés de prestigieux palais, vous êtes libres jusqu'à la dernière minute d'élire votre moment de prédilection, puis de vous couler tout droit à l'intérieur sans passer par la case "billetterie".

Transfert privé vers la gare et train pour Bari. En seulement 2h, le convoi descend le Latium et fend la Campanie avant de ressurgir dans les Pouilles. À l'arrivée dans la capitale de la région, nouveau transfert privé et installation pour la nuit à quelques pas du Giardino Garibaldi. Les murets du XIXe servent de strate inférieure à un aménagement contemporain. Quant à la palette retenue pour les chambres, elle varie entre orangé, olive et taupe. En termes de programme, le matin est consacré à un revigorant petit déjeuner, le soir à un verre au bar. Le spa, lui, invite à rétablir ses équilibres pour attaquer les visites du bon pied. 

Prise en main de la voiture de location et route pour Lecce en suivant la ligne de l'Adriatique. À l'arrivée, installation pour quatre nuits au sein d'un palais du milieu du XVIe siècle savamment repensé. Au cœur de l'opulent jardin trône un bain à remous ; une zone de la terrasse a été tout spécialement aménagée pour prendre le soleil. Le personnel est aux petits soins. En témoignent les viennoiseries fiévreuses mises à disposition chaque matin, la musique méticuleusement sélectionnée ou encore les oreillers "à la carte" pour les chambres (trois options sont disponibles).

"Florence du Sud", "Athènes des Pouilles" : une visite de Lecce ne serait pas complète sans plonger dans sa vague baroque, qui a laissé ici de nombreuses traces. Parmi les plus étourdissantes réalisations de cette période : la place du dôme, la cathédrale de l’Assomption de la Sainte Vierge (terminée en 1682) et ses palais ; la basilique Santa Crocce...
Déjà prévu - Apéritif sur l'eau au coucher du soleil. Au fil de la côte d'Otrante, des eaux transparentes viennent chatouiller le sable doré. Au-dessus s'élèvent, imperturbables, les falaises de roche blanche. C'est à la tombée du jour que le soleil peint ses plus belles couleurs. À bord d'un bateau, des douceurs locales dans une main, un verre de vin ou de prosecco dans l'autre, on profite ce panorama rêvé.
En option - Lecce la baroque et dégustation de pasticciotto.

À voir, à faire - Rallier, à une demi-heure de route, Gallipoli, la capitale de l'huile d'olive. Derrière les murs, un ensemble XVIIe-XVIIIe somptueux. Ici aussi, la pierre de Lecce a permis des merveilles en matière d'architecture. On s’intéresse à ce qui fit de la ville un centre commercial majeur pendant la Renaissance : les pressoirs hypogées (en sous-sol). Sur les 35 en fonctionnement il y a quelques siècles, deux seulement demeurent – dont l'un, enfoui sous le Palazzo Granafei, a été converti en musée. Après cette visite délicieusement culturelle, place au farniente. Le Salento possède son lot d'illustres croissants de sable ; nous vous glisserons les coordonnées de nos préférés.

Route pour Cisternino à travers les décors bucoliques de Puglia. À l'arrivée, installation pour quatre nuits dans un ancien bourg de trulli. Ceux-ci apparaissent superbement rénovés, entre respect des pierres antiques et intérieur alliant confort et design. Une vraie réussite visuelle doublée d'un espace extérieur bienvenu, d'un service prévenant et d'une vaste piscine salutaire en période estivale. Oliviers, vignes et soleil viennent compléter ce tableau typique des Pouilles.

À voir - Les trulli d'Alberobello. On a beau résider soi-même dans un trullo, cela n'empêche pas d'aller voir de quoi il en retourne du côté d'Alberobello, capitale de ces drôles d'édifices. Ceux-ci ne sont pas passés par la case "rénovation" pour muer en hôtel. De ce fait, ils demeurent des illustrations remarquables de cette technique de construction sans mortier héritée de la préhistoire. On prend le temps d'inspecter de très près l'amoncellement de galets de pierre à chaux cueillis dans les champs voisins ; le centre entier en regorge. Au retour à l'hôtel, la chambre s'observe d'un œil nouveau.

Au programme - Visite d'une ferme et dégustation de fromages. Les masserie sont de vastes propriétés agricoles qui parsèment le sud de l'Italie. Celle-ci abrite un fromager local détenteur des secrets de la mozarella et de la burrata italiennes. Après une inspection en bonne et due forme de la propriété dans les pas d'un propriétaire pas peu fier, on participe activement au processus de création dans le laboratoire. La visite se clôt par une session-dégustation – comment pourrait-il en être autrement après ces étapes aguicheuses ?
À voir, à proximité - Blottie dans la campagne à une quinzaine de kilomètres de Cisternino, Ostuni, la "ville blanche", exhibe une foule de petites maisons badigeonnées à la chaux. Le reste des édifices ne s'en démarque que davantage : ici, une belle cathédrale ; là, un petit musée archéologique. On y passe sans difficulté quelques heures.

Après deux journées dédiées au patrimoine culturel et culinaire de la région, l'heure est venue de plonger dans ses paysages – au sens littéral. Sur la côte, le long de la mer Adriatique, les options baignade sont légion. Quelques beach clubs ont planté leurs parasols au fil des croissants de sable. Ils arborent banquettes confortables, grandes terrasses et même piscines. Pour les férus de simplicité, de petites plages dorées sont abritées entre les rochers ; leurs adresses se murmurent à l'oreille entre initiés.

Route pour Bari, restitution de la voiture de location et train pour Rome. À l'arrivée dans la capitale italienne, transfert privé pour votre nouvelle adresse. Face au cloître de Bramante, à un jet de pierre de la piazza Navona, voilà une adresse bien romaine. Trois chambres seulement emplissent le bâtiment XVIIe. Elles ouvrent tour à tour sur une église, une jolie cour ou les toits de Rome. Partout, des murs blancs mettent en valeur les motifs historiques ou design. Et il n'est pas question que de décoration : espace, literie, mobilier, salles de bain – tout cela complète et parachève le séjour.
Déjà prévu - Votre dîner dans une adresse secrète et délicieuse de la ville éternelle.