Idée voyage 100% personnalisable
Irlande - Kerry - Burren - Connemara - Dublin
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
À l’arrivée à l’aéroport, prise en main de la voiture de location et route pour Kilkenny. Installation pour une nuit en plein centre-ville, à deux pas du château, au sein de ce qui était autrefois la maison de douaire. Des jardins d'un vert enchanteur et un manoir XVIIIe impeccable sous sa vigne vierge placent haut la toise du voyage. La décoration intérieure prolonge l’architecture en mariant un mobilier contemporain et des touches Art déco aux éléments d'origine de la demeure. De tout cela se dégage une harmonie à laquelle des tons soutenus – bleu canard, blanc, jaune d'or, vert olive, etc. – donnent beaucoup de vigueur. Dans les chambres, un équipement parfait génère un confort douillet. Les grandes fenêtres en arc (bow-windows) ouvrent sur le jardin et le château, accentuant l'espace comme la lumière.
Kilkenny a été fondée au VIe siècle autour du monastère de Saint Canice dont elle a pris le nom. Le riche patrimoine architectural, notamment médiéval, se marie aux paysages bucoliques des environs pour créer de multiples occasions de promenade à pied ou à vélo.
À voir, à faire - Goûter à l'une des célèbres bières de la ville ; admirer la plus grande rosace d'Irlande sur le portail de l'abbaye noire ; participer à l'un des nombreux festivals.
En option - Billets d'entrée pour le château de Kilkenny.
Déjà prévu - Votre dîner en trois plats au restaurant Campagne, gratifié d’une étoile par le Guide rouge.
Route pour Cork et, chemin faisant, visite du Rock of Cashel, perché sur son piton rocheux en surplomb du village éponyme. Avis aux amateurs d'architecture médiévale, d'art celtique ou simples curieux, le mystère qui entoure cet ensemble de vestiges royaux et religieux, pour certains remarquablement conservés et pour d’autres en ruines, reste intact et les légendes autour de ce site majeur vont toujours bon train. Ses origines remonteraient au IVe siècle. C’est là que Saint Patrick aurait utilisé un trèfle pour expliquer la Trinité, faisant du trèfle le symbole de l’Irlande.
Sitôt à Cork, installation pour une nuit un peu à l'écart du centre. L’hôtel séduit dès le premier coup d’œil : on le découvre pimpant, dans ses jardins fleuris, caché derrière un haut mur. Très pittoresque, la bâtisse en brique rouges arbore un style néo-géorgien. Ses façades sont mangées par la vigne, l’arbre centenaire veille à côté du perron, un portier en livrée attend. On entre, un escalier monumental dessert les étages. Ici ou là, on croise un personnel tout sourire à pied d’œuvre. Au rez-de-chaussée, les salons reflètent l’opulence du mode de vie aristocratique d’antan ; aux étages, des chambres élégantes rendent hommage au confort d’une autre époque. Des coins et recoins aménagés permettent de savourer le moment présent dans ce cadre anachronique. On vaque dans des jardins colorés et dessinés au cordeau, on se plie à la tradition sacrée de l’afternoon tea dans un salon lumineux et aéré, on se love, livre à la main, au creux d’un confortable Chesterfield dans la bibliothèque ou tout près de l’âtre pour savourer un whiskey et écouter une histoire du temps jadis contée par le majordome du manoir.
En ville, on ne manquera pas de flâner sur St Patrick’s Street, l’une des plus alléchantes rues commerçantes du pays. Ni de goûter aux fameux crubeens, ces pieds de cochon panés !
En option - Cork et ses environs au coucher du soleil, en bateau privé.
Route pour Killorglin, dans le comté de Kerry. Installation pour deux nuits au bord du Lough Caragh, à proximité des trois lacs interconnectés de Killarney. Lady Gordon, qui fit construire le manoir en 1913, se montra très satisfaite que celui-ci n’eut jamais l’air neuf. Conception baudelairienne de l’élégance. Le parc d’agrément et d’acclimatation de plus de dix hectares dispenserait presque de visiter la région tant il comble la sensibilité. Dans votre chambre, vous vous accordez sans peine à la conception aristocratique de la vie : la simplicité et le naturel en étant des composantes essentielles, elle est accueillante. Idem dans les parties communes. On vous sert dans une belle porcelaine l’afternoon tea ou l’agneau du Kerry sans en faire tout un plat. Et le bien-être se trouve dans un fauteuil poussé sous les fenêtres d’un oriel, sur l’une des chaises longues de la terrasse, le long des sentiers. Voulez-vous faire un peu d’exercice ? Allez donc pagayer sur le lac. Les canoës vous attendent.
Le Ring of Kerry, ce beau circuit de la péninsule d’Iveragh, passe pour ainsi dire à votre porte. Ensuite : Cahersiveen, Waterville, Sneem (où des photos célèbres du général de Gaulle ont été prises lors du voyage consécutif à l’échec du référendum sur la régionalisation, en 1969), Kenmare (connexion pour le Ring of Beara) et Killarney. 170 kilomètres d’Irlande pur jus. La randonnée s’y pratique en gros et en détail. Dans le parc national de Killarney, on ne manque pas les jardins de Muckross House : rhododendrons, azalées et vaches noires du Kerry ; ni le panorama depuis Ladies View sur les lacs ; pas plus que le château de Ross et l’abbaye de Muckross, tous deux du XVe siècle et tous deux tombés aux mains des Roundheads de Cromwell au XVIIe. En étant attentif aux berges, on observe le héron cendré, le colvert, le râle d’eau, voire, dans un éclair bleu, le martin-pêcheur d’Europe. Entre Killorglin et Killarney, une jolie portion des MacGillycuddy Reeks, les plus hautes montagnes d’Irlande. Là encore, des occasions de crapahut et de bons bols d’air.
Route pour Ballyvaughan, dans le comté de Clare. En chemin, il convient de prendre le temps d'explorer la péninsule de Dingle, véritable morceau de l'Irlande sauvage – immenses baies sauvages, montagnes arides, collines rocheuses, ciel tourmenté, tombants plongeant dans l'océan.
À l'arrivée, installation pour deux nuits au sein d'une très belle bâtisse du XVIe siècle aux jardins paysagers somptueux. Des massifs de fleurs colorées encadrent les pelouses parfaitement entretenues tandis que de vastes perspectives s’ouvrent sur un paysage vallonné jusqu’à Galway Bay. La nature se transforme tout au long de la journée au gré de la luminosité. Tenue d’une main de maître par la même famille depuis trois décennies, l'adresse a été maintes fois récompensée. Les chambres et suites dévoilent une grande élégance : on y trouve des camaïeux de couleurs raffinés, mauve ou vert d’eau, de proprets rideaux fleuris, des meubles chinés et une décoration ultra soignée. Pas de télévision, mais une invitation à savourer l’atmosphère rustique de l’Irlande profonde, la vie rythmée par les saisons, la beauté des jardins. L’accueil y est des plus charmants : en toute décontraction, le propriétaire dirige cette maison à la perfection. Difficile, il est vrai, de quitter ce havre, mais le paysage quasi lunaire que dessine plus loin le plateau karstique du Burren vous appelle.
Au programme - Escapade sur l’île d’Inishmore. Si les îles d’Aran, gardiennes de la baie, étaient des sœurs, Inis Mór (en gaélique) en serait l’aînée. 12 kilomètres de long sur 3 kilomètres de large en font le plus vaste îlot de la zone. Le plus peuplé également. Le ferry depuis Doolin vous dépose pour la journée sur cette terre traversée par les embruns. "Un roc lugubre qui s'élève obliquement pour se perdre dans le brouillard" écrivit un peu durement John Synge, le poète irlandais. Le site a, il est vrai, une allure particulière : quoi de plus normal puisqu’il est, géologiquement, la suite du plateau quasi lunaire du Burren. L’occupation humaine en a quelque peu modifié l’aspect, compilant les roches esseulées pour en faire des murets de pierre. Ceux-ci quadrillent désormais la zone, partie intégrante du panorama (et de l’imaginaire). L’île constitue par ailleurs une destination culturelle de premier choix : sites celtes ancestraux, forts préhistoriques bien conservés et vestiges de monastères se partagent l’espace. À se demander si une journée suffit pour parcourir cette terre battue par les vents.
Déjà prévu - Dîner en huit plats au restaurant de l'hôtel, maintes fois récompensé.
L’heure est venue de rejoindre le Connemara, terre de légendes et de folklore. Pour ce faire, route pour Rosmuc, la "péninsule des collines", en longeant la baie de Galway.
Prévu en chemin - Galway dans les pas d’une locale. Sans surprise, le rendez-vous est fixé au pied d’un pub (les chances sont grandes qu’il se termine de la même façon, attablés cette fois). Vous êtes rejoints par une Française devenue Galway girl. Celle-ci vous emporte, comme une ballade, à travers les ruelles médiévales de la capitale irlandaise des festivals. De lieux confidentiels en sites incontournables avec, toujours, un twist ou une anecdote, votre amie du jour improvise le parcours en fonction de ses dernières trouvailles, du calendrier local – et de vos envies, bien sûr. Au loin, quelques notes de fiddle, de harpe voire de bodhrán rythment la balade.
Poursuite de la route vers Rosmuc et installation pour deux nuits dans une maison victorienne du XIXe siècle édifiée sur les berges de la baie de Camus. On aperçoit cette dernière depuis la plupart des chambres, par ailleurs cosy et richement décorées. Attenante à l’hôtel, une zone de détente exhaustive : piscine d’eau salée chauffée, sauna, hammam, bain d’algues et bain à remous extérieur. Pour varier les plaisirs, pourquoi ne pas piquer une tête dans les eaux de l’Atlantique depuis la jetée, située quelques mètres plus loin, avant de rejoindre à toute vitesse la chaleur sèche du sauna ? Le soir venu, voyage culinaire dans le restaurant intimiste de l’hôtel. Celui-ci se targue de concocter une cuisine irlandaise moderne à l’aide de produits locaux.
Rosmuc, posé entre mer et montagne, est l’archétype du village peuplé d’irréductibles celtes. Les notes gutturales de l’idiome local résonnent dans les rues, dans le pub, dans le port. Rien de bien surprenant : la localité de 500 âmes se situe dans un Gaeltacht, une de ces régions où la langue régionale est maniée dans une importante proportion. On goûte ici à l’Irlande fière, altière, indomptable. Le héros nationaliste Patrick Pearse en avait d’ailleurs fait son fief. C’est ici qu’il écrivit, en 1915, la fameuse tirade "L’Irlande assujettie ne sera jamais en paix". Prophétique.
En option - Visite guidée du château, de l'abbaye et des jardins de Kylemore, en soirée.
Sur la route en direction de Dublin, on peut faire halte à Clonmacnoise, le plus riche ensemble monastique du pays datant du XIe siècle. Ses vestiges ont conservé une certaine spiritualité malgré les années et assurent une étape culturelle bienvenue. À l'arrivée à Dublin, restitution de la voiture de location et installation pour la nuit juste derrière la National Gallery, dans une adresse exclusive dont le luxe discret réside dans la décoration soignée de ses maisons géorgiennes restaurées autour de deux jardins privés. L'hôtel a su conserver l'héritage historique de ce bâtiment du XVIIIe siècle tout en créant des chambres spacieuses et lumineuses. Outre son bar-restaurant irlandais de grande qualité, il compte également l’une des plus célèbres tables françaises de Dublin.
Déjà prévus - Billets pour la bibliothèque du Trinity College, fondé en 1592 par la reine Elisabeth Ière sur le modèle des établissements d’Oxford et Cambridge. Oscar Wilde, Bram Stocker, Edmund Burke ou encore Samuel Beckett y ont étudié. La bibliothèque est la pièce maîtresse de cette université – en particulier la Long Room, construite entre 1712 et 1732, qui étire ses 65 mètres sous un magnifique plafond voûté recouvert de bois de chêne. Étagères et rambardes taillées dans le même matériau noble. Ouvrages qui se serrent les uns contre les autres sur deux étages. L’ensemble est saisissant. Toutefois, à garder le nez en l’air, vous pourriez manquer, dans l’allée, la harpe du roi Brian Boru (XIV-XVe siècles) qui a servi de modèle à la monnaie locale, ou encore la Proclamation de la République d’Irlande dont Patrick Pearse (encore lui) fit la lecture en 1916. Le clou de l’exposition : un évangéliaire calligraphié et enluminé du IXe siècle, le Livre de Kells. L'audioguide en français permet d'apprécier encore mieux les lieux, sans en perdre une miette.
A ne pas manquer - Faire la tournée des pubs ; visiter les récents Dublin Docklands ; flâner sur les quais de la Liffey ; fouiller le St Stephen’s Green Shopping Centre ; assister à une partie de hurling au Croke Park ; admirer, à la galerie nationale, L’arrestation du Christ, Caravage (1602), le Portrait de la femme aux gants, Rembrandt (1642), la Femme écrivant une lettre, Vermeer (1670) ou la Connemara Girl d’Augsutus Nicholas (1865). Enfin, la Guinness Storehouse à la brasserie de St James Gate est elle aussi un monument national.
En option - Visite guidée privée de la cathédrale Saint-Patrick.
Transfert privé jusqu'à l’aéroport et vol retour direct.
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